Douleur

Je ne me souviens pas que la douleur ait été si présente la première fois....

Elle ne me quitte plus et les picots qui maintiennent la fermeture de la cage sont incrustés dans mon bas-ventre.

Cela tient sans doute au fait que la première fois, étant en congé, j'avais limité mes activités tout autant que mon habillement.

Aujourd'hui, je travaille et la cage est vraiment présente à chaque instant me rappelant en permanence que je suis la propriété de Madame et me maintenant dans un état de perpétuel sacrifice en son hommage.

C'est beaucoup plus dur que je ne l'aurais imaginé mais je suis fier de l'accepter et de le surmonter pour elle....